L’ATTENTE
Aux tendres aveux de l’amour,
Ephémère bonheur ne durant qu’un jour.
Parce que ta promesse n’est plus,
Parce qu’elle me blesse et que tu ne la jamais su.
Du fond de l’éternité je t’ai aimé,
Ma prière, tu ne l’as jamais entendue.
Je n’aurais jamais été laissée
Si je ne t’avais pas connu.
Il a fallu ton apparition,
Une illusion de l’esprit
Pour comprendre l’infini.
Dans ta hâte d’aimer,
N’oublie pas qu’un jour je me lasserai.
Dans mon attente
N’oublie pas ma tourmente,
Car le jeu de l’amour ne dure pas toujours.
Virginie K.